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Pour Jean-Christophe Lagarde, Samy Amimour s’est radicalisé à cause d’une mosquée au Blanc-Mesnil

Samy_AmimourLa mosquée Casanova au Blanc-Mesnil est pointée du doigt par le député-Maire Jean-Christophe Lagarde (UDI). Ce dernier accuse l’établissement d’avoir radicalisé un enfant timide d’une famille sans histoire et qui ne présentait aucune religiosité.

Selon Jean-Christophe Lagarde, Samy Amimour avait fréquenté cette mosquée avant de se rendre en Syrie pour faire le Djihad. Mais le Maire du Blanc-Mesnil Thierry Meignen défend sa mosquée et affirme qu’aucune mosquée Salafiste se trouve sur sa commune.

Plus de 50 candidats au Djihad en Seine-Saint-Denis

djihad_franceSelon le site L’Essonnien, ces 13 derniers mois, plus de 50 candidats au Djihad en Syrie et en Irak ont été recensés en Seine-Saint-Denis.

La carte de France ci-contre permet de se rendre compte de l’ampleur du phénomène en fonction du département.

La région Parisienne, le Nord et le Sud-Est sont les plus touchés.

Au moins un migrant Syrien parmi les terroristes des attentats de Paris ?

migrants

Vidéo

Selon les autorités grecques, le passeport Syrien retrouvé près du corps de l’un des assaillants appartenait à un migrant Syrien, enregistré dans le pays lors de son passage dans le pays le 3 octobre. Au moment de la rédaction de cet article, le lien entre le terroriste et le propriétaire du passeport n’a pas été établi. Cependant, les enquêteurs n’excluent pas cette piste.

Depuis le début de l’année, de nombreux migrants sont venus s’installer en Europe (plus d’un million), fuyant la guerre en Syrie et en Lybie, ou souhaitant obtenir une vie meilleures. Des courants d’extrême-droite affirmaient que certains militants djihadistes de l’état islamique et du front Al-Nosra s’étaient glissés parmi les réfugiés. Allégations appuyées par l’Etat Islamique lui-même.

Il y a quelques mois, la Hongrie arrêtait deux migrants sur son territoire, soupçonnés d’appartenir au Front AL-Nosra, mouvance d’Al-Qaida en Syrie.

Une cellule de déradicalisation des djihadistes revenant de Syrie à Aulnay-sous-Bois ?

djihadistesC’est ce que l’on peut apprendre dans le journal 20minutes dans un article sur Geoffrey, un jeune converti à l’Islam et qui est parti faire le Djihad en Syrie. Itinéraire d’une vie ratée, après quelques déboires avec la justice, Geoffrey, comme des milliers de français, avaient rejoint les rangs du Front Al-Nosra (Al-Qaida) et de l’Etat Islamique, qui occupent de larges pans de territoires en Syrie.

On y apprend que Geoffrey s’est retrouvé dans un appartement à Aulnay-sous-Bois avec d’autres jeunes de retour de Syrie, pour entamer une longue et douloureuse conversion dans la vie civile, apparemment. Cela n’a pas été réussi puisqu’il a été inculpé ensuite de proxénétisme…

La Bulgarie va extrader un Français originaire d’Aulnay-sous-Bois qui souhaitait rejoindre l’Etat Islamique

djihadistesUn jeune Aunaysien de 17 ans a été arrêté en Bulgarie le 16 octobre à la frontière Turque alors qu’il souhaitait rejoindre son frère dans les rangs de l’Etat Islamique en Syrie. La Turquie, principal soutien des militants islamistes en Syrie mais qui a pris ses distances avec l’Etat Islamique, est le principal point d’entrée pour les jeunes qui cherchent à faire le Djihad en Syrie et en Irak.

De nombreux français ont déjà péri. Ce jeune Aulnaysien était sous le coup d’un mandat d’arrêt international pour « participation à une entreprise criminelle en vue de la réalisation d’actes terroristes ».

Source : Le Parisien

Lina et Mohammed, réfugiés syriens venant de Homs, habitent à Aulnay-sous-Bois

refugies_migrantsSi Bruno Beschizza ne souhaite pas octroyer des places aux migrants dont certains fuient la Syrie, un couple vit désormais sur notre commune, en l’occurrence Lina et Mohammed

Avec leur statut de réfugié, ils n’arrivent pas à trouver du travail. Et pourtant à Homs, en Syrie, Mohammed était pédiatre et Lina, gynécologue…

Source : tdg.ch

 

Seulement 20% des migrants seraient Syriens, pas de mouvement de solidarité à Aulnay-sous-Bois

C’est le très célèbre quotidien britannique The Daily Mail qui met les pieds dans le plat : sur la totalité des migrants arrivés en Europe entre avril et juin 2015, à peine 20% venaient de Syrie, et 6% d’Irak, deux pays reconnus comme officiellement en guerre.

Alors que de nombreux partis de gauche et un grand nombre d’association réclament l’ouverture totale des frontière pour une supposée réponse humanitaire, ces chiffres semblent contredire de nombreux analystes et experts en géopolitique. Une forte proportion de ces migrants vient des Balkans (Albanie, Kosovo, Macédoine), qui sont des pays en paix, alors que d’autres viennent du Soudan et de l’Érythrée (qui à défaut d’être en guerre, ces pays sont loin de correspondre à des modèles de démocratie et ne respectent pas les droits de l’homme). De nombreux migrants viennent également du Pakistan et d’Afghanistan, qui ne sont pas en guerre mais subissent des pressions de la part des Talibans.

La plupart des migrants viennent donc pour des raisons économiques, espérant trouver un emploi et bénéficier des prestations sociales avantageuses, et espérer un éventuel regroupement familial (la vaste majorité des migrants sont des hommes de 18-30 ans).

A noter que malgré l’article sur la possibilité d’aider ou d’héberger un migrant sur Aulnaycap, personne ne s’est porté volontaire si ce n’est une personne souhaitant donner vêtements et chaussures (une personne était déjà volontaire pour héberger un migrant lors de la parution de l’article). Cela montre que la classe politique Aulnaysienne de gauche et le milieu associatif, qui consulte le site avec assiduité, d’adhèrent pas au mouvement de solidarité et éprouve une certaine non-compassion à ces personnes essayant d’atteindre leur destination.

Quand l’utilisation de mort du jeune enfant Aylan Kurdi tourne au sordide

aylan_kurdiLes drames humains en méditerranée se multiplient avec l’arrivée de « migrants » (nom donné aux immigrés clandestins et aux réfugiés qui tentent de rejoindre l’Europe Occidentale) en provenance du Moyen-Orient, de l’Afrique de l’Est et de l’Afrique de l’Ouest.

Face à cette déferlante, l’opinion publique européenne s’est montrée particulièrement hostile à l’accueil de ces migrants. Des centres de réfugiés ont été incendiés en Allemagne, la Hongrie, la République Tchèque et la Slovaquie ont montré leur réticence et ont même évoqué un possible « suicide de l’Europe ». La Slovaquie évoquant même ne vouloir accueillir que quelques centaines de réfugiés à condition qu’ils soient chrétiens (l’immense majorité des migrants est de confession musulmane sunnite).

Face à cette peur habilement récupérée par l’extrême-droite, les autorités françaises et allemandes tentent en vain de fédérer l’Europe pour accueillir plus de personnes qui tentent de fuir leur pays.

Qui sont ces migrants ?

La majorité des migrants viennent de Syrie, d’Irak, d’Afghanistan et de la Corne de l’Afrique (Somalie, Érythrée…). Ils quittent leur pays pour différentes raisons (guerre, pauvreté, dictature, oppression). A ces migrants s’ajoute une immigration économique, principalement des Balkans et et Turquie, qui tentent d’atteindre l’Eldorado européen et ses avantages sociaux. A noter que si la majorité des Syriens indique vouloir fuir l’avancée de l’Etat Islamique, une partie non-négligeable de ces migrants viennent de régions non concernées par ce fléau (Idlib, Damas, Kurdistan Syrien loin des lignes de front).

Le drame d’Aylan Kurdi et la récupération médiatique

Des centaines voire des milliers de migrants meurent tous les mois en tentant de traverser la méditerranée. Mais c’est sur le drame d’Aylan Kurdi, enfant de 3 ans mort noyé à proximité des côtes Turques de la mer Égée, que le monde s’est tourné. Cet enfant est mort lorsque son embarcation a chaviré, aux côté de son frère aîné et de sa mère. Son père a survécu. Cette famille vient de Kobane, très célèbre ville du Nord de Syrie qui est parvenue, avec l’aide de la coalition internationale, à repousser l’Etat Islamique. Aujourd’hui, tout le canton de Kobane est sous contrôle d’une milice kurde (YPG) qui rêve d’une autonomie substantielle du Kurdistan Syrien, au Nord du pays. Cette milice est sous le collimateur de la Turquie (qui a peur des revendications kurdes sur son territoire et qui accuse cette milice de purification ethnique en expulsant les populations d’origine Arabe et Turkmène).

Alors que la famille du petit Aylan se trouvait dans une partie libérée du territoire Syrien, celle-ci entrepris un périple très risqué qui l’a totalement anéantie. Les médias occidentaux, friands de ce genre d’histoire macabre et tentant (en vain ?) de faire prendre conscience du drame à une population européenne majoritairement hostile, n’ont pas hésité à surfer sur ce drame, sans pour autant exposer le fond du problème. Chose assez étrange, le père du petit Aylan, sensé fuir une contrée hostile et en guerre, décida de revenir à Kobane pour enterrer sa famille disparue. Contradiction qui n’est pas restée inaperçue par plusieurs médias d’extrême droite.

Si le drame du petit Aylan est choquant, combien de jeunes enfants ont succombé dans la traversée de la méditerranéenne cette année, sans susciter de vives réactions ?

Le retour incongru de Bernard Henri Levy

La Syrie et la Libye sont un pays en guerre où les milices islamistes contrôlent de larges pans de territoire. Surfant sur le « Printemps Arabe » de 2011, ces milices, avec l’appui des occidentaux dont la France, ont combattu des régimes certes dictatoriaux mais relativement stables. En Libye, Mouammar Kadhafi a été exécuté lorsqu’il tenta de fuir son dernier bastion, pilonné par l’aviation franco-britannique et bombardés par les milices Libyennes constituées de nombreuses factions islamistes. 3 ans après la chute du dictateur, le pays s’enfonce dans une guerre civile interminable, où les « laïques » et anciens partisans de Kadhafi affrontent d’un côté une mouvante islamiste qui contrôle Tripoli (la capitale) et de l’autre l’Etat Islamique, qui a fait son apparition il y a de cela 1 an. En Syrie, la guerre qui a fait plus de 200 000 morts perdurent avec différentes factions qui s’affrontent et qui tantôt s’allient. La France et d’autres pays occidentaux appuient les « rebelles » qui, pour la plupart, prônent la Charia (juridiction islamique) et ont montré leur hostilité aux minorités religieuses (Alaouites, Chrétiens, Chiites…). Les Chiites et les Alaouites sont généralement exécutés alors que les Chrétiens sont pris en otage et monnayés.

Une grande partie du contingent formé par les Américains et les Turques, sensée combatte à la fois le gouvernement de Bashar el Assad et l’Etat Islamique, a rejoint les factions islamistes parfois très radicale (Front Al Nosra, filiale d’Al Qaida en Syrie) et même l’Etat Islamique lui-même. Ironie ou pas, des armes françaises sophistiquées de type missile Milan ont été retrouvées dans les mains d’islamistes du Front Al Nosra, à la frontière avec le Liban.

Bref, dans ces pays, l’instabilité et la guerre se sont installées et ce pour longtemps. L’Europe et les Etats-Unis sont en grande partie responsable de cette situation, en favorisant l’instabilité et l’approvisionnement en armes des groupes dont les objectifs sont à 100 lieues des valeurs prônées par l’Occident. Et clou du spectacle, notre cher Bernard Henri Levy (BHL, ne pas confondre avec un très célèbre transporteur) revient sur le devant de la scène, surfant sur l’émotion de la mort du petit Aylan et faisant ses traditionnelle leçons de morale. Si d’autres se seraient cachés après le fiasco Libyen, BHL, en manque de notoriété et de reconnaissance, se fait le chevalier blanc du Moyen-Orient en demandant une intervention plus forte pour détruire le restant d’Etat en Syrie. BHL veut aider les peuples pris dans une instabilité qu’il a lui même contribué. Est-ce que le monde Arabo-Musulman aurait finalement trouvé son Tartuffe ?

La coupable inaction des pays du Golfe et de la Chine

Si Bashar el-Assad et son gouvernement sont loin d’être fréquentables (même si Bashar-al-Assad a déjà été l’invité d’un ancien président de la république française), est-ce que la Syrie d’autrefois était un état totalitaire beaucoup plus hostile à son peuple que certains pays amis comme la Chine (qui réprime toute contestation au Tibet ou au Xinjiang) ou l’Arabie Saoudite (qui possède un système judiciaire très discutable) ? Alors que ces pays jouissent d’une bonne stabilité et d’une économie certes vacillante mais qui tient debout, aucun n’a souhaité faire partie de cet élan de solidarité pour accueillir ces centaines de milliers de réfugiés qui habitent parfois à même le sol dans des camps de fortune. L’Arabie Saoudite, le Qatar ou d’autres pays prospères de la région n’auraient pas pu aider la Jordanie et le Liban dans la gestion de la crise Syrienne, en proposant aux familles qui le souhaitaient de les héberger ? La Chine, pays frontalier avec l’Afghanistan, ne pourrait pas également faire partie de cet élan de générosité ? Est-ce que seule l’Europe doit supporter cette souffrance en ouvrant en grand les frontières comme certains le suggèrent ?

Ce drame humain ne pourrait pas être géré au niveau mondial ? Le Canada semble montrer l’exemple en indiquant vouloir accueillir des milliers de réfugies. Les Etats-Unis, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, les pays du Golfe, les pays du Sud-Est Asiatique ne peuvent pas également contribuer à donner à ces migrants une vie meilleure, en sécurité ? Cette question n’a à ce jour pas été posée…

Un islamiste originaire de Pantin jouait les proxénètes et faisait gagner à sa petite amie la somme de 20 000 € par mois

argentIl y a souvent des histoires sordides qui sortent de l’ordinaire et qui ont lieu en Seine-Saint-Denis. Et comme d’habitude, c’est notre très cher journal Le Parsien qui s’en fait l’écho.

Un jeune de 23 ans converti à l’Islam, nommé Geoffrey G. dans le reportage, a été condamné à 3 ans de prison ferme de proxénétisme aggravé. Le jeune homme prostituait des jeunes de 18 à 19 ans, et même sa petite amie, pour se faire un beau pactole. Cette dernière gagnait, selon son témoignage, jusqu’à 20 000 € net par mois. De quoi faire pâlir pas mal de cadres dirigeants.

Cet homme peu ordinaire, dont l’Islam lui fût révélé derrière les barreaux de la prison de Villepinte, a rejeté son appel et accepté la sentence. Alors qu’il pressentait partir en Syrie pour faire le Djihad, selon les aveux de sa propre mère…

Le rapport avec Aulnay-sous-Bois ? Geoffrey était suivi par la responsable de la maison de la prévention et de la famille de la ville.

Au moins 1 djihadiste sur 7 ne revient pas vivant de Syrie et d’Irak

djihadistesLes services de renseignement français estiment aujourd’hui qu’au moins 126 français sont morts en Syrie et en Irak, principalement sous l’étendard de l’Etat Islamique (Daesh), une minorité ayant succombé dans les rangs du Front Al-Nosra (Al-Qaida) ou d’autres milices islamistes soutenus par la Turquie.

Le Parisien revient dans un article complet sur ce phénomène qui prend des proportions inquiétantes. Rien que depuis 2015, près d’une soixantaine de français ont été tués sur le théâtre des opérations. Ceci s’explique par :

  • L’augmentation des combats contre le régime Syrien et le support de plus en plus prononcé des redoutables soldats du Hezbollah Libanais
  • Les combats entre milices islamistes (principalement dans la région d’Alep au Nord)
  • La contre-offensive Kurde en Irak et en Syrie
  • Les bombardements précis des forces de la coalition emmenées par les USA (qui soutiennent les milices islamistes modérées)
  • L’augmentation du contingent français (plus d’un millier), qui transite principalement via la Turquie

Aujourd’hui, près de 1 français sur 7 ne reverra pas la France s’ils s’engagent sur le théâtre des opérations. Les groupuscules Islamiques, notamment l’Etat Islamique, utilisent abondamment les réseaux sociaux pour attirer les candidats au Djihad (dont une forte proportion de convertis). Argent, femmes, vie meilleure sont proposés à ces candidats dont la vie ne semble avoir aucun sens sur le sol français. Les autorités françaises font tout leur possible pour empêcher ce départ faciliter bien souvent par un réseau local solide.

Le gouvernement français  soutient une partie des rebelles islamistes pour faire tomber le gouvernement de Bashar Al-Assad.