Archives de Catégorie: Education
Les ateliers « Les Intrépides de la Tech » plaisent aux élèves du collège Gérard Philipe à Aulnay-sous-Bois
Les ateliers « Les Intrépides de la Tech » continuent au Collège Gérard Philipe d’Aulnay-sous-Bois avec Magic Makers (Ateliers de programmation créative de 7 ans à 18 ans). Après l’intelligence artificielle, les Femmes et la technologie, une classe de 3ème découvre le métier de Cheffe de projet digital avec Clémence Guédra de Simplon Prod (L’agence web solidaire).
Beaucoup de questions, supers échanges !
Une école de réussite scientifique à Aulnay-sous-Bois avec D-PhiAlpha
On nous annonce officiellement l’ouverture prochaine d’une école de réussite scientifique à Aulnay-Sous-Bois !
- Niveau : CM2 à Terminale
- Matière : mathématiques, physique-chimie et anglais
- Objectif : élever le niveau des élèves
- Challenge : faire le programme en moins de six mois.
Renseignements et pré-inscriptions par téléphone (01.43.30.62.29)
La colère de la mère d’Ilyès, enfant autiste exclu de son école sans préavis à Aulnay-sous-Bois
Zaineb se dit révoltée après que son garçon de 7 ans, handicapé, a été exclu de l’école au motif qu’il cracherait sur les autres élèves… Elle dénonce un défaut de prise en charge de son enfant.
C’est le combat d’une maman contre la décision « injuste » d’une école. Laquelle, de son côté, assure qu’elle fait « tout ce qu’elle peut ». Au cœur des tensions : Ilyès, 7 ans, un petit garçon atteint d’autisme « à un degré sévère », précise Zaineb, sa mère. Le 8 décembre, il a été exclu — temporairement — de son école d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Fait « rarissime », confirment les autorités éducatives : selon elles, le garçonnet, dispensé de masque à cause de sa pathologie, cracherait sur les autres.
Une « injustice sur fond de crise du Covid-19 », jure sa mère, qui « soulève le problème de la prise en charge des autistes dans les écoles traditionnelles ». Elle affirme que « rien » n’a été fait pour empêcher de « mettre son fils en échec ».
« Fin octobre, j’ai été prévenue que mon fils présentait des problèmes d’apprentissage et de comportement. Soit. J’ai proposé des solutions, comme expliquer à la maîtresse qu’il fallait travailler avec des renforçateurs (NDLR : un objet utilisé comme stimulus). J’ai même proposé d’être moi-même l’auxiliaire de vie scolaire (AVS) de mon fils ! Mais tout a été refusé », développe-t-elle.
Une décision qui surprend et choque la mère de famille
Un mois plus tard, une nouvelle réunion est organisée, début décembre. Cette fois-ci, pour lui expliquer que son fils, qui ne porte pas de masque par dérogation médicale, cracherait sur les autres enfants.
Etrange, selon Zaineb. « Aucun des professionnels, psychologue et orthophoniste, qui voient mon fils n’ont eu affaire à ça. Mais si c’est exact, c’est que cela traduit une mauvaise prise en charge », tacle encore Zaineb. Qui propose alors de fournir un plexiglas à installer autour de la table de son fils, et de mettre en place une distanciation sociale lors de la récréation. Rien n’y fait : « Ils refusent tout ! »
Une semaine plus tard, on lui signifie l’exclusion de son fils jusqu’aux vacances de Noël. D’abord à l’oral, « sur un ton menaçant », regrette-t-elle, puis par écrit, mardi 8 décembre.
Source, image et article complet : Le Parisien
Pour Jennifer Bouchez, professeure de sport au collège Victor Hugo à Aulnay-sous-Bois, plutôt du Halal que de la Laïcité
Cela est peut-être passé inaperçu, mais lors du reportage Enquête Prioritaire de RMC Story sur la cité des 3000 à Aulnay-sous-Bois. La professeure de sport, Jennifer Bouchez, a été interviewée par les journalistes concernant la situation dans la cité, ses relations avec ses élèves, le communautarisme et les problèmes de sécurité.
Spécialisée dans le handball, Madame Bouchez a répondu sans ambages en évoquant son regret de ne pas avoir d’origine étrangère et de ne pas partager cette expérience l’été du retour au bled pour profiter de ses racines. A propos du religieux, elle estime qu’il est nécessaire pour la société de s’adapter au contexte, préférant lors des sorties acheter de la viande Halal pour satisfaire tout le monde.
Ses classes seraient composées selon elle de plus de 90% d’élèves d’obédience musulmane. Elle estimé que la laïcité ne peut pas s’appliquer et que cela n’a pas de sens. Au contraire, commander des repas Halal lors des sorties scolaires permettrait, selon elle, aux élèves de se sentir mieux. Mme Bouchez conclue que c’est inutile de forcer la laïcité et que l’adaptation à la population et à leurs us et coutumes et une obligation.
Pour découvrir l’interview de Jennifer Bouchez, cliquer ici.
De grosses rénovations à venir au collège Debussy à Aulnay-sous-Bois
Le département de la Seine-Saint-Denis a l’intention d’investir un milliard d’euros d’ici 2030 pour la rénovation des établissements scolaires entrant dans le champ de ses compétences. Parmi les objectifs : construire, rénover et réussir la transition écologique.
A Aulnay-sous-Bois, c’est le collège Debussy qui devrait recevoir le plus d’investissement, avec des travaux lourds prévus. Les autres collèges de la commune devraient aussi bénéficier de quelques travaux mais de moins grande importance.
Plus d’information en cliquant ici.
Aulnay En Commun s’inquiète de la situation sanitaire dans les écoles
Nous souhaitons attirer votre attention sur la situation sanitaire de nombreuses écoles de notre ville. Des parents d’élèves, des agent.e.s communaux-ales et des enseignant.e.s nous ont informées de leurs inquietudes et incompréhensions quant au non respect du protocole sanitaire, alors que nous subissons la seconde vague de propagation de la Covid -19.
Nous avons pu constater par nous-mêmes des manquements dans plusieurs groupes scolaires.
Il s’agit principalement de problèmes d’entretien des locaux. Les employees de la société AMG, malgré leur investissement et toute leur bonne volonté, n’arrivent pas à réaliser le travail supplémentaire engendré par le renforcement du protocole sanitaire.
Elles sont très fatiguées et certaines souffrent de tendinites en raison des gestes répétitifs. Pour assurer pleinement la sécurité sanitaire des enfants et du personnel éducatif, elles ont besoin de renforts et de matériels supplémentaires. Il semblerait que le délégataire soit prêt à renforcer les effectifs, à condition que la ville fasse un avenant au marché initial.
Nous partageons des preoccupations de la communauté éducative d’Aulnay-sous-Bois et appuyons les revendications du personnel d’entretien, en cette période anxiogène de crise sanitaire.
Nous savons que le protocole sanitaire s’impose a toutes les collectivités territoriales et qu’il engendre des dépenses supplémentaires non négligeables sur le budget communal.
Nous savons aussi que les agent.e.s communaux-ales se sont fortement mobilisées pour nettoyer de nombreuses écoles en !’absence des personnels de la société AMG, ce qui ne sera pas sans consequence pour leur état de sante si cela devait se reproduire.
Par conséquent, ii serait inconcevable de fermer les yeux sur ces problématiques pour des raisons budgétaires.
Vous réaffirmant notre détermination à faire que toutes les écoles d’ Aulnay-sous-Bois bénéficient du meilleur, nous vous prions de croire, Monsieur le Maire, à l’assurance de nos sincères salutations.
Source : Communiqué Aulnay En Commun
Covid-19, grève dans les écoles à Aulnay-sous-Bois ce mardi 10 novembre, service minimum instauré
Un préavis de grève a été déposé par les organisations syndicales de l’Education Nationale pour le mardi 10 novembre 2020. Concernant les écoles présentant un nombre supérieur à 25% de grévistes, la Ville organisera un Service Minimum d’Accueil (SMA).
Toutes les écoles d’Aulnay-sous-Bois seront ouvertes et en capacité d’accueillir les élèves dans le respect du protocole sanitaire en vigueur.
L’accueil périscolaire sera maintenu (garderies du matin et du soir, cantine, étude).
Découvrez la liste des écoles concernées par la mise en place du service minimum d’accueil
Ecoles maternelles
- Louis Aragon
- Bourg
- Jean D’Ormesson
- Jules Ferry
- Savigny 2
Ecoles élémentaires
- Ambourget 1
- Paul Bert
- Bourg 2
- Anatole France
- Jean D’Ormesson
- Prévoyants
- Croix Rouge 2
- Croix Saint Marc
- Fontaine des Près 1
- Fontaine des Près 2
- Petits Ormes
De l’importance des mots avec Mathilde Lévesque, professeur de Français à Aulnay-sous-Bois
France 4 a consacré un reportage le 2 novembre dernier sur l’enseignement scolaire avec une émission intitulée :
« Soirée spéciale #Lumni sur l’enseignement scolaire à 21.05 : « Je dis donc je suis«
Ci-dessous le lien d’une vidéo de moins de 3 minutes extrait du reportage, et consacré aux conseils de Mathilde Levesque, professeur de Français dans un lycée d’Aulnay-sous-Bois, où elle recommande à ses élèves de ne pas employer les mots « wesh » ou « Wallah « .
Lien de l’extrait :
Il semble que le débat sur l’importance des mots que nous employons lorsque nous nous exprimons ait suscité bien des réactions et commentaires à la suite de l’extrait.
Des positions aussi variées qu’opposées sur ce sujet donc, démontrent que la langue Française et sa transmission conformément aux règles de l’Education Nationale soit sujette à bien des controverses et même à des remises en cause…. de la part des élèves eux-mêmes et des personnes qui affirment que les mots importés d’autres langues sont une évolution. Pourtant L’article 2 de la Constitution française affirme que : » La langue de la République est le français. «
Vidéo proposée et article rédigé le 8 Novembre 2020 par Catherine Medioni
Covid-19, la colère monte dans les lycées où le protocole sanitaire est jugé insuffisant
Plus de 30 élèves par classe, des réfectoires bondés, des couacs dans les déplacements internes : de nombreux enseignants se plaignent que les conditions sanitaires sont préoccupantes dans les lycées. Alors que me virus fait des ravages, les possibilités de propagation du Covid au travers des lycées sont bien réelles.
Les enseignants ont manifesté un peu partout, comme à Villepinte ou à Aulnay-sous-Bois. Des syndicats enseignants demandent une rotation hebdomadaire ou une moitié des lycéens irait au lycée pour faire les cours et prendre le maximum de devoirs, alors que l’autre moitié se chargerait de faire ces devoirs. Les enseignants souhaitent également diminuer la charge de travail et adapter le programme pour tenir compte de ces conditions sanitaires.
La crainte pour beaucoup : fermer les lycées comme en mars dernier, avec des lycéens livrés à eux-mêmes en utilisant des moyens d’accès à distance, jugés insuffisants.




