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La drogue Monkey Dust débarque en Seine-Saint-Denis, faites attention à vos enfants !

Récemment, la police a saisi une quantité non-négligeable d’une nouvelle drogue appelée « Monkey Dust » en Seine-Saint-Denis. Cette drogue de synthèse est proche de celle de la drogue du zombie, tant elle est redoutable.

Cette drogue entraîne chez le consommateur de l’euphorie, de la paranoïa et une forte dépendance. Sur le coup, elle peut apporter un sentiment d’énergie et de vigilance accru, mais les risques de spasmes et d’excès d’agressivité peuvent provoquer des comportements erratiques chez le drogué.

Les dealers vont bien entendu faire la promotion de cette substance pour mener un beau train de vie, mais sachez que cette drogue, comme toutes les autres y compris le cannabis, peut provoquer des lésions irréversibles. Outre la dépendance, la fragilisation de la santé, la paranoïa et les difficultés de sociabilisation peuvent entraîner les consommateurs à vivre en marge de la société. Soyez vigilants et surveillez vos enfants !

Un risque de mexicanisation à Aulnay-sous-Bois et en Seine-Saint-Denis à cause des dealers de drogue ?

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Ce n’est un secret pour personne : les dealers de drogue ont pignon sur rue dans certains quartiers des grandes villes de Seine-Saint-Denis. A Aulnay-sous-Bois par exemple, il y a des dizaines de points de deal connus, où les camés et drogués viennent chercher leur marchandise auprès de barons locaux surpuissants. La police est impuissante, la justice inefficace voire complaisante, et certains dealers ont une telle influence que les personnalités politiques locales n’osent pas trop les chatouiller.

Dans un article du Parisien paru récemment, on parle de risque de mexicanisation en Seine-Saint-Denis. En gros, le risque que des quartiers entiers passent sous le contrôle des narco-trafiquants, qui filtrent les passages, armés jusqu’aux dents, face auxquels la police n’oserait plus intervenir sans support de l’armée. Est-ce que ce risque est réel ? Bien entendu, même si l’amplitude n’est pas la même qu’au Mexique.

Les dealers de drogue brassent énormément d’argent, disposent d’armes redoutables, et ont réussi à s’organiser d’une manière à mettre certains quartier sous leur coupe. Les enjeux sont énormes et pour beaucoup, l’argent généré est souvent blanchi dans l’immobilier, que ce soit en France ou à l’étranger. Certains se payent le luxe de s’installer à Dubaï, de passer de belles vacances en Thaïlande du sud, ou encore de faire la fête dans les plus belles villes d’Espagne.

Que peut-on faire face à la mexicanisation ? Pas grand chose, la répression ne peut être efficace si une justice implacable puisse suivre. Une sensibilisation ? L’éducation et la prévention auprès des consommateurs peuvent être un début de solution. Après tout, pendant que les dealers s’enrichissent et mènent la belle vie, eux se détruisent la santé, vivent une vie misérable entre dépression et isolement, devenant un poids pour la société dans la mesure où beaucoup vivent d’aides sociales. Mais ce n’est pas aisé car il n’est pas plus sourd que quelqu’un qui ne veut pas entendre, et beaucoup diront qu’une légalisation de la drogue pourrait mettre fin à tous ces trafics (ce que le modèle Allemand semble pourtant prouver le contraire).

Et si la mexicanisation de la Seine-Saint-Denis serait inéluctable ?

Pour combattre le fléau qu’est le trafic de drogue, répression ou légalisation ?

Partout en occident, et plus particulièrement dans les endroits densément peuplés comme la Seine-Saint-Denis, le fléau de la drogue fait des ravages chez toutes les classes sociales (même si les plus pauvres sont les plus touchées). Dépendance, schizophrénie en l’absence de suivi médical, mise au ban social, inactivité du fait de l’incapacité à travailler : pendant que des personnes souffrent du fait de leur consommation, d’autres s’enrichissent, deviennent puissants et surtout dangereux lorsque l’on essaye de mettre à mal leur emprise sur un quartier.

Plusieurs stratégies ont été mises en place pour tenter d’enrayer ces dégâts, allant du tout répressif à la légalisation avec suivi médical pour couper l’herbe sous le pied aux dealers. Zoom sur ces deux méthodes, leurs limites et leurs supposés avantages.

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La répression et ses limites

Les drogues, qu’elles soient douces ou pas, sont prohibées en France et pour cause : leur impact sur la santé est indéniable, avec des effets de dépendance, une détérioration de la santé et une mise au ban de la société. Les consommateurs réguliers de cannabis subissent quelques effets comme l’anxiété, la diminution de la mémoire, les troubles de l’attention, la baisse des capacités cognitives (mémorisation, apprentissage) et parfois des symptômes psychiatriques.

Pour lutter contre la drogue, l’une des voies est donc la répression policière et judiciaire. Cela nécessite beaucoup de moyens humains, mais aussi des équipements pour scruter les endroits où se font les potentielles transactions. Il faut sanctionner les consommateurs et surtout les dealers, avec des peines suffisamment dissuasives pour freiner toute envie de se lancer dans ce business. Mais la répression a ses limites, les sanctions judiciaires sont souvent dérisoires, la police est parfois débordée, et il est impossible de scruter l’ensemble du territoire.

Plus grave, de nombreuses cités sont devenues des zones de non-droit sous la coupe des dealers qui y font régner leur loi. Les personnes qui y entrent sont triées, le pouvoir régalien quasi inexistant du fait de la puissance des dealers, parfois armés jusqu’aux dents. L’attaque récente des équipements à Aulnay-sous-Bois est un triste exemple.

Alors faut-il aller dans la surenchère de la répression ? Certains pays l’ont fait, comme au Salvador où son président a demandé à l’armée de mettre fin aux gangs de la drogue et d’arrêter tous les dealers et complices. Plus de 70 000 personnes ont été mises en prison, la sécurité est revenue, mais à quel prix ? La France est-elle prête à renier l’état de droit pour mettre fin au trafic de drogue ? La France n’a semble-t-il pas les moyens humains ni la logistique (prisons) pour faire ce type d’opération.

La légalisation et ses limites

L’autre moyen de mettre fin au trafic de drogue est de tout simplement légaliser les produits illicites comme le cannabis. Certains pays l’ont adopté, comme le Canada, l’Uruguay, le Luxembourg ou encore l’Allemagne. La nouvelle législation allemande est en vigueur depuis le 1er avril 2024 et rend légale la possession d’un total de 25 grammes de cannabis pour les adultes, et permet aux particuliers de cultiver jusqu’à trois plants de chanvre sous certaines conditions.

Le fait de commercialiser de la drogue dite douce dans des endroits spécifiques pourrait, théoriquement du moins, apporter plus d’argent à l’Etat (aujourd’hui les dealers se font un maximum d’argent sans payer d’impôts), de contrôler la consommation, et de mettre fin au commerce illicite. Bien entendu, cela ne concerne pas la drogue dure comme l’héroïne ou la cocaïne, qui reste bien problématique.

Attention cependant, consommer régulièrement du cannabis n’est pas comme manger régulièrement du chocolat. Outre la dépendance et l’addiction, d’autres effets sont inévitables :

  • Anxiété
  • Baisse des capacités cognitives
  • Dépression
  • Perte de la mémoire
  • Baisse de l’efficacité au travail

Légaliser les drogues douces reviendrait à donner plus de moyen à la santé, avec plus de médecins pour suivre les consommateurs et les soigner. Mais la France en a-t-elle les moyens ?

De plus, l’expérience Allemande montre que la légalisation est loin d’être concluante : des directives de l’Union Européenne limitent la légalisation du cannabis et autres drogues douces, mais en plus la bureaucratie et le « fichage » des consommateurs poussent bon nombre de personnes à privilégier l’achat auprès des dealers.

Bref, la légalisation n’est pas non plus la solution miracle. La prévention, même si elle n’est pas efficace à 100%, peut permettre de limiter le risque que les enfants sombrent dans la drogue.

Ara, le cri des guetteurs du trafic de drogue, a t-il résonné très fort hier soir à Aulnay-sous-Bois ?

Le trafic de drogue est un fléau qui gangrène de nombreuses cités de France. D’un côté, il y a les dealeurs bien structurés qui gagnent une fortune (sans être imposables) et qui arrosent de nombreuses familles (plusieurs personnalités de Gauche estiment que l’argent de la drogue permet aux cités de mieux vivre). De l’autre, des consommateurs qui se démolissent la santé, devenus pour beaucoup des laissés pour compte, incapables de se sociabiliser ou de se réinsérer dans la vie active (il y a également, il est vrai, des « bobos » qui s’amusent à penser que fumer un joint ne touche en rien leur santé).

Au milieu de cela, de nombreuses personnes vivent dans la crainte et souhaitent détourner le regard pour éviter de subir pressions et menaces. Quant aux policiers, souvent en sous-effecif, leur présence apparaît comme inutile, les sanctions judiciaires étant relativement clémentes, toute arrestation de trafiquants de seconde zone se traduit par une libération quasi-immédiate, parfois sans amende. Cependant, quand les policiers arrivent dans un quartier sous la coupe des dealers, ces derniers crient le « Ara », une sorte de signal d’alarme pour alerter les trafiquants de la présence policère. Hier soir, le média Franceat aurait, dans une vidéo de basse qualité, filmé ce cri si particulier dans l’un des quartiers d’Aulnay-sous-Bois.

Nous ignorons qui est Franceat. Des bienpensants diront certainement que c’est un média d’extrême-droite, complotiste, pro-Zemmour, issu de l’AfD Allemand ou du FPÖ Autrichien, voire un média à la solde de la Pologne nationaliste. En tout cas, vous pouvez observer cette vidéo – avec des pincettes – en cliquant sur l’image ci-dessous :

Valérie Pécresse soutient les habitants de Sevran qui ont repoussé l’invasion des dealers

La présidente (Libres !) du conseil régional a rencontré ce samedi les copropriétaires qui s’étaient physiquement opposés, début décembre, à l’installation de trafiquants dans leurs parties communes.

Une présidente de région, des conseillers départementaux et plusieurs maires qui débattent de sécurité dans le parking souterrain d’une résidence privée de Seine-Saint-Denis. C’est l’étonnante scène à laquelle ont pu assister des habitants de Sevran, ce samedi entre midi et 14 heures.

Valérie Pécresse (Libres!), à la tête de la région Ile-de-France, s’est rendue à la rencontre de ces copropriétaires qui s’étaient opposés à mains nues à des trafiquants, début décembre. Ces derniers lorgnaient leurs parties communes – et notamment le parking – pour y installer leur point de deal.

Installation de caméras, hausse des effectifs de police, construction, ou non, d’un commissariat à Sevran… Pendant plusieurs dizaines de minutes, les habitants et les élus ont abordé ces nombreux sujets, après avoir écouté le récit édifiant des habitants de cette résidence livrée tout récemment, il y a seulement deux ans.

Deux trafiquants ont été condamnés

Début décembre, des trafiquants s’étaient installés plusieurs jours d’affilée au sein de leur parking, jusqu’à ce que le président du conseil syndical, se décide de venir à leur rencontre.

« Je leur ai dit : Ici, vous ne pouvez pas rester, il y a des familles, des enfants… Ils m’ont entouré à cinq et ils m’ont frappé, témoigne-t-il face aux élus. Quand ils ont tenté de revenir, deux jours plus tard, on était plus de 80 propriétaires, hommes et femmes, à les attendre », poursuit-il.

Source et article complet : Le Parisien

Un Procès Verbal de la police à Aulnay-sous-Bois indique comment les dealers violent les indics Place Jupiter

Intox ou pas ? C’est le journal Marianne qui jette un pavé dans la mare : selon les journalistes , un PV transmis au commissariat central d’Aulnay, le lendemain de l’interpellation de Théo, indique que ce dernier aurait pu être violé par les dealers du quartier Jupiter (Rose des Vents). Les raisons ? Théo aurait été pris pour un indic, parce qu’interpellé le 15 janvier au niveau de cette même place Jupiter.

Selon quelques dealers, il est de coutume de procéder à des actes de torture contre des personnes qui nuisent au marché parallèle de revente  de stupéfiants.

Pour l’instant, il ne s’agit que d’une supposition dans un PV qui ne nomme pas Théo, et mis en lumière par Marianne. L’enquête est toujours en cours, un policier est a été mis en examen pour viol sur la même affaire.

Pour lire l’article complet, cliquer ici.

 

Nuit debout contre les dealers ou l’aveu d’impuissance des forces régaliennes

Sevran_Beaudottes_CiteUne fois de plus, des habitants de la cité Paul Eluard ont passé la nuit dehors en espérant faire fuir les dealers qui squattent le pied des immeubles. Excédés par les squats, les bruits et les désagréments, ces pères et mères de famille souhaitent par leur présence la nuit faire déguerpir ceux qui profitent des accrocs aux drogues douces et dures.

Cela n’est pas sans risque, puisque des voitures ont été vandalisées. Des représailles psychologiques ont été également entreprises, avec de la musique à fond jusque tard dans la nuit pour empêcher les enfants de dormir.

Alors que cette cité, comme tant d’autres dans l’hexagone, était connue pour son trafique de stupéfiants, les forces de police et encore moins la justice n’ont réussi à faire cesser ces activités lucratives. Les rares arrestations conduisent souvent à des sanctions légères, ce qui conduit les policiers à réduire leurs interventions.

Cet épisode montre à quel point les forces régaliennes sont impuissantes face à un fléau qui pourrit tout un quartier. Ce sentiment d’abandon ou d’impuissance n’est pas sans conséquence puisque :

  • Plusieurs personnalités politiques espèrent dépénaliser les stupéfiants pour briser les trafiques, au risque d’impacter significativement la santé de ceux qui en consomment
  • Plusieurs chercheurs et intellectuels estiment que ces trafiques apportent une certaine paix sociale : avec l’argent récolté, les jeunes et les caïds arrivent à « contrôler » les cités, qui n’explosent pas malgré les tensions sociales. Cela a quand même des désagréments puisqu’un filtrage est effectué et n’importe qui ne peut pas pénétrer dans la zone de deal
  • Les prisons étant surchargées, les arrestations ne conduisent souvent pas à l’incarcération. De ce fait, les forces de police sont plus réticentes à « prendre des risques » pour un résultat limité
  • Avec cet abandon, des associations cultuelles et d’autres organisations ont pris le dessus et tentent de ramener le calme et la sérénité, souvent avec l’appui des forces politiques locales. Si cela fonctionne sur le court terme, l’apparent non contrôle de ces associations et l’augmentation de leur influence provoquent des inquiétudes tant chez les riverains que chez certains sociologues et politologues.

Un échec qui risque bien, une fois de plus, de faire le jeu des abstentionnistes, nationalistes ou souverainistes, dont le poids ne cesse d’augmenter d’élection en élection. Il n’y a hélas aucune solution miracle, puisque même chez nos voisins, ce fléau semble s’accentuer d’année en année.

Bien entendu, on aurait tort de considérer l’ensemble de ces quartiers comme des zones de non droit : le tissu associatif existe, des familles tentent de s’en sortir, des activités sortent de terre et de nombreux talents ont été découverts tant sur le milieu sportif que culturel ou social. Hélas, le trafique de drogue et ce sentiment d’abandon poussent certains jeunes à basculer du mauvais côté, au grand désespoir de leurs parents.

 

Des riverains de la cité Paul Eluard à Saint-Denis passent la Nuit debout contre les dealeurs

Porte_Saint_OuenLe mouvement Nuit Debout fait des émules, mais cette fois-ci ce n’est pas pour protester contre le gouvernement ou la politique en général, mais pour exprimer un ras-le-bol contre les dealers qui pourrissent la vie de la cité. La scène se situe à Saint-Denis, cité Paul Eluard, non loin de la gare. Soutenu par les autorités locales, est-ce que ce mouvement obtiendra gain de cause ?

Source : Le Parisien

L’Omerta est toujours en vigueur dans les cités d’Aulnay-sous-Bois face au trafic de drogue

silenceLe trafic de drogue ne s’est jamais arrêté dans les cités d’Aulnay-sous-Bois. Tout au plus, il s’est déplacé en fonction des allées et venues des CRS qui, à certaines occasions et souvent sous une impulsion politique ou un fait divers alarmant, se sont positionnés à des endroits stratégiques.

La rédaction d’Aulnaycap a interrogé quelques résidents de ces cités qui n’ont pas souhaiter révéler leur identité. Si les dealers, les guetteurs et les hébergeurs de produits illicites ne sont pas forcément violents et casseurs comme certains l’imaginent (au contraire, le trafic illicite requiert une certaine discrétion), ils font la pluie et le beau temps dans leur quartier.

Ainsi, seuls les résidents « identifiés comme tels » peuvent partir et venir sans être réellement inquiétés. Les visiteurs doivent quant à eux montrer patte blanche. Le simple fait de prendre des photos peut paraître suspect et, à moins d’être fortement accompagnés, il n’est pas rare que des individus accostent et posent des questions avec insistance sur le pourquoi de ces clichés. Généralement sans violence, le photographe ou toute personne suspectée d’être de connivence avec la police est raccompagnée à l’extérieur du « point de deal », terme employé par la municipalité. Ces « points de deal » sont connus des services municipaux, des élus et de la police. Il y a même des consignes pour les éviter. Autant dire qu’il est pratiquement impossible de faire un reportage vidéo…

Certains halls d’immeuble restent occupées, à partir de 12h00 jusque tard dans la soirée. Selon les aveux même d’un résident de ces quartiers dits sensibles par les pouvoirs politiques, il y a une sorte d’accord tacite entre les habitants et les dealers : « On les laisse faire leur trafic, en échange ils ne nous agressent pas, ils n’importunent pas nos enfants, ne font pas de vague et ne nous cambriolent pas« . Pour d’autres, la peur empêche certaines personnes de les dénoncer, sous peine de représailles parfois physiques. Certains prétendent que la police est au courant de ces agissements mais n’intervient pas pour éviter une émeute. Pourtant, quelques descentes et perquisitions ont lieu, les filatures existent. Le manque de moyen de la police semble être un frein pour enrayer ce commerce parallèle qui fait vivre plusieurs dizaines d’individus.

Contrairement aux idées reçues, ces quartiers ne sont pas pour autant des zones d’ultra-violence, de peur et de non-droit. Au profit d’une Omerta, des actifs peuvent se rendre au travail sans avoir peur de trouver un jour, sur le parking, son véhicule brûlé. Les mamans peuvent ramener leurs enfants à l’école sans être inquiétées. Tout le monde semble s’être habitué à ce commerce parallèle, implanté pour durer. Toute personne souhaitant dénoncer ou contester cela est vite ravisée par ses voisins, toute dénonciation peut conduire à des actions parfois brutales.

Plusieurs riverains de ces quartiers ont toutefois remarqué que les patrouilles de police sont plus nombreuses depuis l’arrivée de Bruno Beschizza en 2014. Patrouilles qui rassurent mais qui ne permet pas encore de mettre à mal tout ce business. Certains affirment que les bobos et les enfants fortunés font le jeu des dealers en achetant de l’herbe et du cannabis « pour faire tendance ». Tant qu’il y aura des consommateurs, il y aura des dealers…

 

Vidéo : Pour TMC, Aulnay-sous-Bois est cernée par les dealers !

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Vidéo

TMC diffusait hier soir un reportage édifiant sur la situation sécuritaire à Aulnay-sous-Bois et l’action des forces de l’ordre. Drogue, cambriolages, insécurité, tous les ingrédients étaient réunis pour choquer l’audience.

Certaines cités sont complètement sous le joug des dealers, des guetteurs sont partout, une partie de la population des cités profite de ce commerce parallèle (perquisition chez des bénéficiaires du RSA qui possèdent un mobilier qui rendrait jaloux certains foyers de la classe moyenne). 

Notons la présence dans ce reportage du commissaire Vincent Lafon, que nous avions interviewé et qui montre encore une fois son efficacité.

Pour revivre ce reportage, cliquer sur l’image ci-contre.