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200 000 euros d’amende pour la Société urbaine de travaux après un accident mortel du travail de Jérémy Wasson
Deux cent mille euros d’amende pour la Société urbaine de travaux. Cette grande entreprise de BTP a été condamnée lourdement cette semaine par le tribunal correctionnel de Bobigny pour homicide involontaire. Le 28 mai 2020, Jérémy Wasson, 21 ans, était victime d’un accident mortel du travail sur un chantier à Pantin. Alors qu’il était sur le toit du futur centre de commandement unique pour l’exploitation de la ligne E du RER, l’ingénieur stagiaire était tombé cinq mètres plus bas d’une trémie de désenfumage. Polytraumatisé, il décédera deux jours plus tard.
Source et article complet : Le Parisien
Plus de 80 migrants Afghans bloqués sur un terrain vague à Pantin
Lundi soir, à Pantin, aux portes de Paris, environ 80 jeunes Afghans ont passé une nouvelle nuit sur un terrain vague, au fond d’un petit parc. Il était19h, ils s’agglutinaient autour d’un feu pour se réchauffer.
Le campement existe depuis fin janvier, explique un riverain du collectif citoyen Pantin solidaire. « Ils ont été chassés de lieu en lieu… Nous les avons donc installés ici. Ils trouvent un peu de répit dans ce parc. Ils ne démontent pas leur tente tous les jours ».
Selon Pantin solidaire, le campement ne cesse de grossir. Ils étaient 10 fin janvier, ils sont 8 fois plus aujourd’hui. « On estime qu’il y a 5 à 6 nouvelles personnes par jour ». Beaucoup arrivent sans tentes, sans vêtements chauds, sans couvertures.
Sanaullah, un Afghan, est parti quelques jours après la prise de Kaboul par les Taliban. Il vit dans le camp depuis 20 jours, dit-il en pachto. « Il fait froid, il pleut, et il y a des gens qui sont malades. On a beaucoup de problèmes ».
Ce soir-là, un voisin du quartier, Fodil, est passé distribuer des repas : 50 barquettes de pâtes bolognese que sa femme a préparées pour les jeunes migrants. « On vient aider, parce nous, on est au chaud », dit-il. Les jeunes ne sont jetés sur ces repas chauds.
beaucoup de jeunes, des primo-arrivants déchantent complément. Ils ne pensaient pas que la France les laisserait à la rue. « Heureusement que les voisins sont gentils », dit l’un d’eux en mangeant la barquette de pâtes de Fodil.
Ces jeunes, parmi lesquels se trouvent aussi des Dublinés, ne comprennent rien aux papiers de l’administration. Ils nous montrent les docs de la pref, de l’Ofii (docs bien rangés dans des classeurs plastifiés) et nous demandent : « c’est quoi ? »
Les collectifs espèrent qu’une prochaine mise à l’abri sortira ces jeunes de la rue. Si les arrivées quotidiennes continuent, la situation risque de devenir critique dans le parc où les jeunes n’ont accès ni à l’eau ni à l’électricité.
Source : Charlotte Boitiaux / France24
Il se fait voler 56 000 euros contenus dans son sac à Pantin en se faisant trainer en voiture !
Le physique imposant et la démarche incertaine, ils s’avancent à la barre. Mardi 18 janvier 2022, Marco D. et Brandon J. étaient jugés au tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) pour vol avec violences en réunion. Ils sont accusés d’avoir dérobé un sac à Pantin contenant 55 600 euros et traîné le propriétaire sur plusieurs mètres alors qu’il s’accrochait à leur voiture.
Les faits remontent au 12 septembre 2021. Ce jour-là, la victime doit remettre le sac à deux contacts, supposés faire les intermédiaires en vue de l’envoi de l’argent à Dubaï, aux Emirats Arabes Unis. Sauf que la remise ne se passe pas comme prévu. « Brandon J. a pris le sac pour aller dans la voiture. On devait y compter ensemble l’argent et valider l’échange. Sauf qu’une fois entré dans la voiture, il a fermé les portières et la voiture a démarré en trombe », rapporte la victime. L’homme n’a pas eu le temps d’entrer à son tour dans le véhicule.
Source et article complet : Actu.fr
Formation sur la laïcité critiquée dans un lycée de Pantin, plainte pour diffamation
Une inspectrice de l’Éducation nationale a déposé plainte pour outrage et diffamation contre un enseignant. Celui-ci avait critiqué, sous la forme d’un poème, le contenu d’un atelier qu’elle avait donné en novembre au sein du lycée Marcelin-Berthelot, avant d’être convoqué au rectorat.
La polémique autour de la formation sur la laïcité organisée début novembre au lycée Marcelin-Berthelot, à Pantin (Seine-Saint-Denis) va-t-elle prendre une tournure judiciaire ? L’une des inspectrices académiques qui a dispensé aux personnels de l’établissement un atelier dédié à la « laïcité et aux valeurs de la République » a porté plainte le 5 janvier pour outrage et diffamation envers le professeur qui avait lu en décembre, lors d’un conseil d’administration du lycée, une fable critiquant le contenu de cette formation.
Source et article complet : Le Parisien
Le Maire d’Aulnay-sous-Bois Bruno Beschizza demande à Jean Castex de mettre fin à la consommation de Crack à Pantin
Depuis le 24 septembre 2021, une centaine de personnes toxicomanes a été installée dans un square qui borde le périphérique sur le secteur de Pantin, non loin d’Aubervilliers. Ces toxicomanes étaient au départ à Paris mais l’Etat a fait déménager cette salle de shoot à ciel ouvert sur le département de la Seine-Saint-Denis.
Bruno Beschizza, Maire d’Aulnay-sous-Bois demande à Jean Castex, au travers d’une lettre signée par 36 élus, de revoir sa position et de faire en sorte à ce que le département de la Seine-Saint-Denis ne devienne pas un territoire où il y a une concentration des difficultés.
Le département de la Seine-Saint-Denis n’est pas une poubelle avec des drogués selon Valérie Pécresse
Paris est devenue une salle de shoot (crack) à ciel ouvert à la suite de l’ouverture de différentes salles pour les drogués. Avec la colère des riverains, les drogués ont été priés de partir à Pantin en Seine-Saint-Denis pour s’adonner à leur addiction morbide. Pour Valérie Pécresse, l’Etat considère la Seine-Saint-Denis comme la poubelle de France où tous les péchés sont permis.
A Pantin, un mur sera construit pour protéger les riverains des nuisances occasionnées par les consommateurs de crack.
Pantin expérimente le dimanche sans voiture, et pourquoi pas Aulnay-sous-Bois ?
Ce dimanche 19 septembre il sera presque impossible de rouler en voiture à Pantin. Les scooters, les motos et autres engins à moteur seront proscris. Quasiment toutes les rues de Pantin seront concernées sauf quelques voies à la périphérie et les très grands axes de transit.
Cette démarche écologiste est salutaire, mais peut-elle être appliquée à d’autres villes comme Aulnay-sous-Bois ? Imaginez un dimanche sans bruit de moteur (sauf peut-être au niveau de l’autoroute A3 et de l’ex RN2), les Aulnaysiens qui laissent leur voiture de côté pour se rendre au marché, les voitures diesel tant décriées laissées au garage, le chant des oiseaux et un air respirable. Quel serait l’impact sur le marché du Boulevard de Strasbourg et celui des 3000 ? Est-ce que le groupe Aulnay En Commun, si prompt à défendre l’écriture inclusive et à conspuer les mauvais automobilistes, pourrait émettre un vœux au prochain conseil municipal ?
Quatre nouvelles cités éducatives en Seine-Saint-Denis, mais pas pour Aulnay-sous-Bois
L’annonce est passée quelque peu inaperçue en plein coeur de l’été, mais elle porte désormais à neuf le nombre de communes de la Seine-Saint-Denis soutenues par l’Etat pour leur action éducative. La deuxième vague de labellisations « Cité Educative » décernée par les ministères de la Ville et de l’Education nationale le 27 juillet dernier, a distingué quatre nouvelles communes du département : Saint-Denis, Aubervilliers, Epinay-sur-Seine et Pantin. Pour les quatre lauréates de seconde vague de Cités éducatives, la Seine-Saint-Denis va bénéficier d’une enveloppe globale de 1,6 million d’euros par an pendant trois ans.
Source et article complet : Les Echos
Un homme crache au visage et assène des coups de couteau dans un bus à Pantin !
Un homme de 43 ans a été condamné mardi 13 avril 2021 à 18 mois de prison ferme pour violences aggravées suite à une altercation dans un bus à Pantin.
La moquerie a mal tourné. Jeudi 8 avril 2021, un homme de 43 ans crache sans raison apparente dans les cheveux d’une passagère du bus 249. Il était jugé mardi 13 avril 2021, au tribunal de Bobigny pour « violences aggravées« .
Violente agression
Les faits se sont déroulés alors que le bus circulait niveau de la gare RER de Pantin. Deux hommes interviennent alors face à l’individu qui sort un couteau pour les menacer. Un des deux passagers parvient à désarmer l’accusé, actionne le système d’ouverture d’urgence du bus et arrive à le faire sortir du véhicule.
L’altercation se poursuit alors un peu plus loin entre les deux hommes. Le mis en cause sort un deuxième couteau et assène à la victime un coup à la tête causant une plaie profonde, un coup au bras et à la main avant d’être interpellé. La victime se verra prescrire dix jours d’interruption totale de travail (ITT).
Source et article complet : Actu.fr
Fusillade à Pantin, une fillette gravement blessée après avoir reçu une balle perdue !
Plusieurs coups de feu ont été tirés dans la rue Rouget-de-Lisle à Pantin vers 13 heures. Un homme qui se trouvait en voiture avec sa fillette de 10 ans a été visé par les tirs par un individu qui a réussi à prendre la fuite. L’enfant a été grièvement blessée.
L’auteur des coups de feu a pris la fuite sur une trottinette selon des témoignages. L’homme qu’il visait n’aurait pas été touché. Ce dernier est bien connu des services de police et de la justice. Il venait de sortir de prison.
Source : Actu17
