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Pour Jean Messiha, les deux policiers agressés à Aulnay-sous-Bois représentent la haine de la France par la diversité

Jean Messiha, ancien membre du Rassemblement National et chroniqueur sur la chaîne CNEWS, ne mâche pas ses mots concernant l’agression des deux policiers dans le quartier de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois. Selon lui, il ne s’agirait pas d’un acte criminel, mais de « l’expression inextinguible de la France par une partie de la diversité islamisée ».

Des propos chocs qui vont certainement faire réagir une partie de la classe politique Française.

La vidéo des deux policiers lynchés dans le quartier des 3000 à Aulnay-sous-Bois, preuve du mal qui couve dans les cités ?

La vidéo prise sur le vif hier lors d’un banal contrôle routier qui a mal tourné dans le quartier de la Rose des Vents à Aulnay-sous-Bois a beaucoup fait réagir les réseaux sociaux. Entre les personnes qui exigent une réponse forte pour venir à bout des agresseurs et ceux qui sont plutôt compatissants avec la quinzaine de jeunes qui se sont rués sur les policiers, la société se divise et s’interroge.

Dans la vidéo, on entend bel et bien des complices inciter leurs camarades de « shooter » dans la tête des deux policiers, dont un est à terre. Ces derniers ont fait preuve d’un certain sang froid, décidant de battre en retraite sans utiliser leur arme de service (reste à savoir si, en cas d’usage, la légitime défense aurait été acceptée par les juges).

Dans un quartier qui semble, en partie, échapper au pouvoir régalien, quelle sera la réponse de la municipalité d’Aulnay-sous-Bois ? Est-ce que le ministre de l’intérieur va réagir et venir pour soutenir les policiers ?

D’autres propos surprenants ont été aperçus sur les réseaux sociaux. L’un estime que le jeune homme interpellé aurait été « sauvé » car l’un des policiers l’aurait plaqué à terre et était sur le point de l’étouffer, comme dans l’affaire George Floyd. Etait-ce cependant une raison suffisante pour agresser les policiers ?

On compare souvent le mal des cités à la pauvreté et manque de moyens qui sont accordés aux jeunes. Cependant, dans les quartiers populaires Français des années 50s jusqu’au début des années 80s, notamment dans les corons du Nord-Pas de Calais où beaucoup de foyers n’avaient pas de télévision et dont les toilettes se trouvaient à l’extérieur, il n’y avait pas ce genre de rébellion. Il est difficile d’imaginer que seule la pauvreté et le désespoir seraient la cause de ces agressions.

https://twitter.com/atika_samrah/status/1345814523735912452

Affaire Théo à Aulnay-sous-Bois, trois policiers renvoyés devant les assises

En février 2017, Théo a été grièvement blessé suite à une intervention policière à Aulnay (Seine-Saint-Denis). Trois policiers sont renvoyés aux assises annonce le parquet.

Alors que les faits remontent à février 2017, personne n’a oublié à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) et encore moins dans la cité des 3 000. C’est au coeur de cette cité que Théo Luhaka a été grièvement blessé lors de son interpellation, le 2 février 2017.

C’est un nouveau rebondissement, ce mercredi 7 octobre 2020, dans l’affaire Théo puisque le parquet de Bobigny a annoncé dans un communiqué avoir « requis le renvoi de trois policiers devant les assises ».

Source et article complet : Actu.fr

Un cordon de policiers empêche Hadama Traoré et les manifestants de se rendre devant les locaux de C-News

La Révolution Est En Marche, mouvement mené par l’Aulnaysien Hadama Traoré, a tenté de se rendre devant les locaux de la chaîne C-News. Malgré une demande effectuée mi-août pour manifester, le mouvement n’aurait pas reçu les autorisations nécessaires pour venir à l’adresse souhaitée. Une cordon de policiers a bloqué l’accès aux manifestants.

Malgré une situation de grande tension qui peut dégénérer à tout moment, les manifestants n’ont pas tenté de forcer le passage. Hadama Traoré a cependant prévenu qu’il allait passer coûte que coûte quand il en aura l’occasion.

L’adolescent qui prétend avoir été malmené par des policiers à Aulnay-sous-Bois a peut-être menti

Alors que des jeunes accusent la police de violences, le parquet de Bobigny a ouvert une enquête préliminaire pour tentative de vol avec effraction.

Pour les familles des adolescents qui ont annoncé avoir saisi l’IGPN, l’affaire est pliée. Elles affirment qu’un jeune de 15 ans a fait l’objet de violences de la part de policiers lors d’une interpellation, jeudi soir à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Selon le témoignage de la victime présumée, publié dans Le Parisien, lui et cinq amis ont aperçu une ombre dans une maison vide et y sont entrés « par le portail ouvert ».

L’enquête a depuis établi la présence de traces de pesée sur la porte d’entrée du pavillon, indiquant une effraction. Même si rien n’accuse formellement à ce stade les adolescents d’en être à l’origine. En revanche, selon une source judiciaire, la fuite de trois des jeunes à l’arrivée de la police remet en cause leur intrusion fortuite.

Course poursuite

En outre, une photo de la victime présumée – et principale accusatrice – par les policiers au parquet de Bobigny ne montre aucune trace de violences sur le visage, où un policier lui aurait asséné un coup de poing. Aucune trace n’est visible sur les vêtements malgré la balayette qui l’aurait renversé au sol.

Jeudi 18 juillet, trois policiers avaient été appelés via le 17 vers 20 heures pour une suspicion de « vol par effraction commis par cinq individus [ils sont 6 en réalité, NDLR] encore sur place », peut-on lire dans le rapport d’intervention rédigé immédiatement après les faits. La patrouille arrive rapidement devant le pavillon et trois des adolescents obtempèrent rapidement à la vue des uniformes. Trois autres prennent la fuite. L’un se ravise, les deux autres continuent leur course. Les gardiens de la paix parviennent à en rattraper un, non sans mal. Un policier reste avec les quatre interpellés. Les deux autres, l’un à pied, l’autre en voiture, mettent fin à la fuite du dernier adolescent en plaçant le véhicule de police en travers de sa route.

Source et article complet : Le Point

 

Gérard Collomb annonce une police du quotidien plus ambitieuse à Aulnay-sous-Bois et Sevran

25 policiers vont être affectés, début octobre, aux quartiers du Gros-Saule, à Aulnay, et des Beaudottes, à Sevran. Ce jeudi, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb est venu préciser les contours du dispositif.

« Alors monsieur le ministre, pourquoi vous partez ? » « Parce que les Lyonnais me veulent… mais pas tout de suite ! » Ce jeudi, Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur déjà candidat à la mairie de Lyon, est venu à Aulnay-sous-Bois et Sevran, non pas pour parler de son avenir politique, mais de la police de sécurité du quotidien (PSQ).

Le 4 octobre, 25 policiers seront déployés sous forme de « brigades territoriales de contact (BTC) », dans les quartiers du Gros-Saule et des Beaudottes, désignés « quartiers de reconquête républicaine (QRR) », comme treize autres en France, pour expérimenter cette police de proximité version Macron.

Le dispositif étendu.C’était la doléance de Bruno Beschizza, maire (LR) d’Aulnay-sous-Bois : sous peine d’échec, ne pas limiter la PSQ au Gros-Saule, « l’un des quartiers les plus durs » de sa ville. Ce jeudi, il a été entendu. « La PSQ cible ses efforts sur les QRR, mais ne s’arrête pas là : nous allons généraliser le dispositif », a annoncé Michel Delpuech, le préfet de police, présent aux côtés de Gérad Collomb.

Source et article complet : Le Parisien

Deux policiers violemment frappés et blessés lors d’un contrôle routier à Aulnay-sous-Bois

Une patrouille de police a été prise à partie lundi soir, lors d’un contrôle routier à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis. Les policiers circulaient à proximité de la cité du Merisier vers minuit lorsqu’ils sont doublés par une voiture à vive allure. Les fonctionnaires de police décident alors de contrôler le conducteur, qui s’arrête et obtempère. Deux des policiers sortent effectuer le contrôle, un troisième reste à bord du véhicule.

La situation dégénère ensuite rapidement. Plusieurs individus se portent à la hauteur de la voiture et se mêlent au contrôle. Huit individus, cachés derrière un camion surgissent alors sur les fonctionnaires de police et commencent à les frapper.

4 et 6 jours d’ITT

Le policier resté dans la voiture fait usager du lanceur de balles de défense à trois reprises pour repousser les assaillants. D’autres individus surgissent, après les appels à l’aide d’un assaillant interpellé. A nouveau, les policiers font usage à trois reprises du lanceur de balles de défense et d’une grenade de désencerclement. La personne arrêtée a été placée en garde-à-vue au commissariat de Sevran.

Source : BFM TV

Théo confronté au policier poursuivi pour « viol » lors de son interpellation à Aulnay-sous-Bois

Selon les informations d’Europe 1, une confrontation est en cours au tribunal de grande instance de Bobigny, mercredi après-midi.

Version contre version. Théo, 22 ans, grièvement blessé lors d’un contrôle de police à Aulnay-sous-Bois, en février 2017, est confronté au fonctionnaire poursuivi pour « viol » dans ce dossier, mercredi après-midi. Selon les informations d’Europe 1, l’audition des protagonistes est toujours en cours. Sur les trois autres policiers présents lors du contrôle, au moins un n’a pas été convié à cette confrontation. La présence des deux autres dans le bureau de la juge d’instruction n’est pas confirmée. 

Le caractère volontaire du geste en question. Théo affirme que le policier lui a « volontairement » enfoncé sa matraque dans les fesses, provoquant une déchirure de 10 centimètres. Le fonctionnaire et ses collègues nient tout geste déplacé, affirmant que le coup visait les jambes du jeune homme. La semaine dernière, une nouvelle expertise médicale versée au dossier indiquait que la matraque avait en fait atteint le sphincter, le muscle entourant l’anus, la pénétration étant consécutive à la violence du choc. C’est probablement à la lumière de ces derniers éléments que les différentes versions sont actuellement confrontées.

Source : Europe 1

Des policiers agressés à coup de poing dans le quartier des 3000 à Aulnay-sous-Bois, une policière prise à partie

Les faits se sont déroulés jeudi vers 18h00, lors d’un banal contrôle d’identité. Un jeune homme a refusé de se soustraire au contrôle et s’est enfuit, aidé de 4 complices, non sans donner des coups de poing à l’un des fonctionnaires. 

Alors que 2 des agents partent à sa poursuite, une policière reste seule pour sécuriser le véhicule. C’est là que plus de 30 personnes partent à l’assaut du véhicule de police, et tentent se s’en prendre à la fonctionnaire. Deux armes sont dérobées, mais la policière parvint à s’échapper avec son véhicule. 

De l’autre côté, le fuyard a eu le soutien d’une partie des habitants, l’un d’entre-eux ayant même prêté son vélo…

La vidéo-surveillance pour attester le viol ou pas d’un jeune par 4 policiers à Aulnay-sous-Bois

rassemblement_theo_aulnayCertains n’apprécient pas la vidéo-surveillance et pourtant, celle-ci pourrait s’avérer utile dans l’enquête dans l’affaire d’un cas de viol présumé par 4 policiers nationaux sur un jeune de 22 ans, Théo.

Une bande vidéo montre en effet le moment de l’arrestation musclée du jeune homme, jeudi 2 février en fin d’après-midi. 

Sur cette vidéo on voit le jeune homme adopter une posture agressive contre les policiers. Ces derniers font usage de gaz lacrymogène. Celui-ci, dans son entrain, tombe par terre, et son pantalon de jogging glisse tout seul (en tout cas c’est ce que la vidéo laisse présager).

A ce moment là un fonctionnaire donne un coup de matraque télescopique sur le derrière du jeune homme. Ce geste n’est apparemment pas conforme aux usages dans la police selon le site RTL.

L’enquête est ouverte pour savoir si le policer a voulu intentionnellement ou non enfoncer la matraque dans le postérieur. Si cela est avéré, alors le policier risque une accusation de viol. Encore une fois, la vidéo-surveillance pourrait avoir un rôle clé dans l’élucidation de l’affaire.