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Covid-19, le préfet du 93, Georges-François Leclerc, en visite au centre de vaccination d’Aulnay-sous-Bois

Aujourd’hui, le conseiller départemental de la Seine-Saint,-Denis, Mohamed Ayyadi, était au centre de vaccination de la covid-19 sur la commune d’Aulnay-sous-Bois. Ce centre de vaccination concerne les personnes de 75 ans et plus pour la première injection. Monsieur Ayyadi a pu rencontrer Georges-François Leclerc, Préfet de la Seine-Saint-Denis et Stéphane Troussel, Président du Conseil Départemental. Quelques élus de la ville étaient également présents.

Source : Mohamed Ayyadi

Mohamed Ayyadi, conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis, souhaite une maison des solidarités à Aulnay-sous-Bois

Mohamed Ayyadi, conseiller départemental de la Seine-Saint-Denis, a sollicité la ville d’Aulnay-sous-Bois pour envisager la création d’une maison des solidarités en lien avec le département de la Seine-Saint-Denis et définir de nouvelles modalités de partenariat Ville-Département au bénéfice des Aulnaysiens.

Vous trouverez ci-dessous le contenu de sa lettre.

Aulnay-sous-Bois, qui pour succéder à Mohamed Ayyadi et Séverine Maroun au conseil départemental de la Seine-Saint-Denis ?

Les prochaines élections départementales auront lieu en juin 2021. Initialement prévues en mars 2021, elles ont été repoussées à cause de la pandémie de Covid. A Aulnay-sous-Bois, ces élections devraient être une véritable balade de santé pour le parti LR, qui a (presque) gagné toutes les élections depuis 2014 et le sacre de Bruno Beschizza. Avec un parti LREM en difficulté du fait du contexte national (même si Emmanuel Macron s’en sort bien mieux que Nicolas Sarkozy ou François Hollande au niveau popularité en fin de mandat) et une Gauche à terre, rien ne semble pouvoir empêcher l’inéluctable victoire des candidats LR. Mais qui pour rafler la mise ?

Mettre fin à la seule erreur tactique de Bruno Beschizza depuis 2014

En Mars 2015, Bruno Beschizza se présentait en duo avec Séverine Maroun aux départementales 2015 à Aulnay-sous-Bois. Surfant sur la vague anti-Hollande et sur son charisme, Bruno Beschizza l’emporta haut la main. Mais ce qui devait être un poisson d’avril est devenu réalité quelques mois plus tard, Bruno Beschizza préférant démissionner pour siéger au Conseil Régional (il avait pourtant annoncé vouloir démissionner du Conseil Régional pour siéger au Conseil Départemental, ce comportement fantasque et déroutant avait même embrouillé le responsable RN Jordan Bardella, qui lui a valu un procès).

Mal lui en a pris : son suppléant, Mohamed Ayyadi, a pris sa place et à peine plus d’un an plus tard, préféra quitter la majorité pour rentrer dans le giron LREM – sans vraiment y entrer. Mohamed Ayyadi a été en quelque sorte la seule épine dans le pied de Bruno Beschizza, qui a laissé à un poste à responsabilité un concurrent politique notamment très apprécié dans les quartiers Nord de la ville. Sauf bouleversement, Mohamed Ayyadi ne devrait pas conserver son siège, il devrait être logiquement battu par la déferlante LR que connait la ville d’Aulnay-sous-Bois.

Quels candidats LR pour les départementales 2021 à Aulnay-sous-Bois ?

Si tout le monde sait que LR devrait remporter la mise à Aulnay-sous-Bois en juin prochain, tout le monde s’interroge pour savoir qui va succéder à Mohamed Ayyadi. Si du côté du binôme féminin il n’y a aucun doute (Séverine Maroun, actuelle première adjointe à Aulnay-sous-Bois, devrait être reconduite sauf si elle caresse l’idée d’un poste encore plus important), cela est nettement moins certain du côté du binôme masculin.

Le nom de Frank Cannarozzo vient à l’esprit. Lui qui voulait être le suppléant de Bruno Beschizza en 2015 (ce dernier préféra Mohamed Ayyadi) ou candidat à la députation en 2017 (Bruno Beschizza préféra Alain Ramadier) ne cache pas ses ambitions. Sa soudaine activité sur les réseaux sociaux ces derniers mois est un indicateur de ses velléités. Reste à savoir si Bruno Beschizza acceptera ce pari de celui qui, à défaut de se montrer critique en face, n’hésite pas à jouer sur ses réseaux pour maintenir une certaine contestation.

D’autres prétendants peuvent cependant vouloir la place. On pense notamment à Fouad El Kouradi, très connu dans les quartiers Nord. Denis Cahenzli semble hors course puisqu’il a obtenu un poste intéressant à la Métropole du Grand Paris.

Bruno Beschizza pourrait cependant jouer la carte d’un candidat plus fidèle, moins ambitieux, qui ne lui ferait pas de l’ombre, jouant sur la notoriété de Séverine Maroun pour remporter la victoire facilement. Autre possibilité : Bruno Beschizza se présente lui-même, annonçant comme en 2015 vouloir démissionner du Conseil Régional, et espérer que le Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis bascule à Droite pour devenir Président, bien plus « rémunérateur » en termes de notoriété. Si le département reste à Gauche, il pourrait de nouveau démissionner de son poste de conseiller départemental et concourir pour les régionales 2021, qui auront lieu un peu plus tard. Mais la question reste la même : qui pour être son suppléant, qui pourrait, comme Mohamed Ayyadi, le remplacer ?

Le conseiller départemental Mohamed Ayyadi s’adresse à Stéphane Troussel au sujet du décrochage scolaire

Monsieur Le President,

Notre département doit se donner les moyens de mener une politique ambitieuse en faveur de la réussite scolaire de notre jeunesse, elle doit montrer davantage qu’elle est une réelle priorité et plus particulièrement dans nos quartiers ou le décrochage scolaire est un phénomène bien ancré.

Comme vous l’avez rappelé lors de la séance du conseil départemental d’avril 2020, nous devons nous ressaisir de cette question plus prégnante aujourd’hui qu’elle ne l’a été par le passé. Nos efforts doivent se concentrer sur cette période post-confinement.

Le creusement des inégalités sociales va très certainement renforcer l’exclusion de certains élèves de nos dispositifs essentiels au maintien de l’égalité des chances pour chacun des élèves de notre département.

Les collectivités locales ont la responsabilité d’anticiper la recrudescence plus que probable, du décrochage scolaire dans nos établissements.

Dans cet optique, le gouvernement a présenté le dispositif « vacances apprenantes ». II permettra, entre autre, a des enfants identifiés comme décrocheurs de renforcer leurs apprentissages et remobiliser les savoirs fondamentaux.

Ce dispositif se matérialisera notamment, par l’ouverture d’établissements pendant les vacances estivales pour des activités de soutien scolaire mais également, des activités culturelles et sportives.

Le ministre de l’Education Nationale a indiqué vouloir privilégier les colleges situés dans les quartiers prioritaires. Ce dispositif sera doté d’un budget de 200 millions d’euros, avec pour objectif de toucher 400 000 élèves. Notre département présente les critères pour être eligible à ce dispositif.

Comme vous le savez, la ville d’Aulnay-sous-Bois, comprend plusieurs quartiers prioritaires, c’est la raison pour laquelle, je souhaiterai que la commune d’Aulnay-sous-Bois, s’inscrivent dans ce dispositif.

Aussi, je vous saurai gré de bien vouloir envisager, en relation avec le directeur académique des services de !’Education nationale, l’integration dans ce dispositif, des colleges : Victor Hugo, Claude Debussy, Pablo Neruda, Christine de Pisan, Gerard Philippe, Simone Veil, Le Parc

Je sais pouvoir compter sur vos engagements en faveur de l’Education et de notre jeunesse et suis disposé a vous rencontrer pour évoquer les modalités d’une intervention coordonnée avec les services de l’Etat.

Je vous prie de croire, Monsieur Le president, en !’expression de ma consideration distinguée.

Source : lettre du conseiller départemental Mohamed Ayyadi à Stéphane Troussel

Mohamed Ayyadi interpelle le département et le Maire d’Aulnay-sous-Bois sur les assistantes sociales

Monsieur Le President, Monsieur Le Maire,

Comme vous le savez, notre pays traverse une crise sanitaire, économique et sociale sans precedent.

Notre département, qui est le plus jeune de France mais aussi le plus pauvre, paie un lourd tribut face a la pandémie.

Cette situation dramatique a intensifie les inégalités sociales mais aussi les inégalités entre les territoires dans la lutte contre le covid-19.

Je souhaite saluer ici l’action des acteurs du département, des communes ainsi que du tissu associatif qui ont su faire face avec courage et determination pour répondre a la détresse des Séquano-Dionisiens.

C’est dans cet esprit qu’il est aujourd’hui plus que nécessaire de renforcer l’offre de service public comme rem part efficace pour lutter contre les inégalités poussées par le coronavirus.

Apres deux mois de confinement, la situation s’est aggravée, avec des consequences sociales dramatiques pour des centaines de families – vous avez d’ailleurs évoqué, Monsieur le President, une augmentation des bénéficiaires du RSA depuis le mois de mars.

II est done extrêmement urgent de rétablir le fonctionnement du service social de notre ville.

En 2014, la municipalité aulnaysienne a pris la decision de mettre fin au service social de notre ville. J’avais d’ailleurs pris part a ce vote par discipline de groupe et c’est est l’une des nombreuses raisons qui m’avaient amène finalement a quitter la majorité de Bruno Beschizza.

Aujourd’hui, je sollicite votre bienveillance afin que nous puissions engager une discussion en vue de rétablir une convention sociale entre la ville d’Aulnay-sous-Bois et le Département de la Seine-Saint-Denis: c’est vital pour l’avenir des Aulnaysiens.

Les assistantes sociales sont essentielles dans le suivi et l’accompagnement d’un public fragilise qui va malheureusement s’accroître en raison de cette pandémie.

II est urgent que la ville et le département puissent travailler de concert dans le but de réduire les
souffrances qu’endurent chaque jour nos concitoyens les plus fragiles.

Pour ma part, je suis disponible et dispose a participer a !’elaboration et a la réussite de ce partenariat dont j’ai l’intime conviction qu’il sera bénéfique pour notre ville.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le President. Monsieur le Maire, !’expression de mes salutations distinguées.

Source : communiqué de Mohamed Ayyadi, Conseiller Départemental de Seine-Saint-Denis

Mohamed Ayyadi répond aux critiques et aux attaques envers l’association Citoyen de Demain

Après mûre réflexion, il ne m’est pas permis de rester silencieux lorsque la noblesse d’une action est remise en cause de manière artificieuse par les propos outrageux sur le blog Aulnay libre.

Sur le fond, mon engagement politique m’expose de fait à des critiques par des adversaires dont certains peuvent faire preuve de malhonnêteté intellectuelle.

Mais que l’on prenne pour cible une association et l’intégrité de son président qui œuvrent avec leurs modestes moyens m’est insupportable.

Les qualités humaines et professionnelles de Monsieur REZZAKI ne sont plus à démontrer.

Enseignant, Docteur en Chimie, récipiendaire des palmes académiques en reconnaissance de son engagement au service de l’Éducation Nationale, il est investi dans la vie associative de notre ville depuis de nombreuses années.

Monsieur REZZAKI a toujours oeuvré pour le vivre ensemble. Il en a fait un leitmotiv qu’il transmet à la jeunesse Aulnaysienne. Ses actions sont nombreuses : lutte contre l’échec scolaire, ateliers éducatifs et culturels, égalité fille-garçon, devoir de mémoire des génocides, actions de solidarités…etc.

Depuis le début de la crise sanitaire, l’association « Citoyen de Demain » qu’il préside (et dont je ne suis ni membre ni adhérent) mène, avec ses modestes moyens, des actions en direction des personnes en grande difficultés, des personnels hospitaliers et personnels de secours en distribuant régulièrement des repas.

Pour ma part, j’y vois une formidable expression de solidarité et de cohésion sociale là où les esprits chagrins n’y voient que démagogie et trivialité.

Il y a un principe bien connu en science : le point de vue du sujet détermine sa vision de l’objet. Il est alors aisé d’identifier le point de vue de l’auteur de ces inepties. Ce dernier serait d’ailleurs bien inspiré de quitter son clavier et son pupitre de donneur de leçon pour contribuer par des actions concrètes à la solidarité nationale et locale qui s’organise tant bien que mal et très souvent à l’initiative d’associations aux modestes moyens. Soutenir les démarches citoyennes plutôt que critiquer : la municipalité ne pourrait-elle pas ouvrir les portes de sa cuisine centrale pour permettre la préparation de ces repas en cette période de fermeture des écoles ?

Cette crise sanitaire sans précédent et ses milliers de morts devrait nous guider vers plus de sagesse, d’humilité et de compassion. Pourtant, en cette triste période de confinement on ne peut que regretter que certains continuent à s’agiter dans leur bocal sur le ton de l’ironie et du mépris.

A croire que cette situation les laisse de marbre. Leur reste-t-il encore une once d’humanité ? Nous serions en droit d’en douter.

Je m’adresse solennellement à l’administrateur du blog « Aulnay Libre », pour le retrait de cette publication calomnieuse et contenant des contrevérités qui traînent dans la boue la dignité d’une association et de son président. De plus, l’auteur de cette publication sortirait grandi en présentant ses excuses au président de cette association.

Pour ma part, je continuerai à répondre présent à toute sollicitation visant à apporter ma modeste contribution en cette période de crise au service de l’intérêt général. Le fait d’être élu ne nous exonère pas d’être un citoyen à part entière et investi.

Je tiens à remercier et à saluer toutes les associations qui oeuvre dans l’ombre et tous les bénévoles qui font vivre cette formidable solidarité.

Je n’oublie pas les personnels de santé et de secours dont l’investissement est exemplaire et nous démontre la dimension régalienne de ces services.

A tous, je veux leur dire mon admiration et les assurer de mon soutien plein et entier.

Mohamed AYYADI
Conseiller Départemental

Incivilités, agressions, cambriolages…que fait la mairie d’Aulnay-sous-Bois ?

Illustration

Incivilités, agressions, cambriolages… Vous avez été nombreux à nous faire part de la situation qui se dégrade dans le quartier du Vieux-Pays et, plus largement, dans l’ensemble de la ville d’Aulnay.

Ces derniers jours, ce sont nos aînés qui ont subi des agressions ou des tentatives d’agressions. Les Aulnaysiens ne peuvent plus vivre dans la crainte de cambriolages ou d’agression. Les commerçants ne doivent plus vivre dans la peur que l’on porte atteinte à leurs outils de travail.

Nous avons alerté à plusieurs reprises le Maire et ses services pour qu’ils interviennent.

Vous trouverez au verso une copie du courrier que nous lui avons transmis.
Alors que notre ville est fortement équipée en matière de sécurité (3,4 millions € investis), l’insécurité est toujours là.

Il n’y a qu’à regarder dans les villes alentours où les cambriolages ont diminué de 33% au Blanc-Mesnil, de 20% à Bobigny, ou de 15% à Gagny !

Pourtant, à Aulnay, les chiffres restent sensiblement les mêmes, avec 263 cambriolages constatés en 2018, soit plus d’un cambriolage tous les 2 jours !

Bruno BESCHIZZA doit cesser la communication à outrance et défendre les Aulnaysiens. Cette autosatisfaction du Maire est inacceptable. Nous l’invitons à prendre par exemple le RER afin de constater le climat de peur aux abords de la gare d’Aulnay le soir.

Voilà la situation à Aulnay, voilà le quotidien des Aulnaysiens, alors que le Maire se plait à dire l’inverse dans son magazine « Oxygène » !

Nous vous tiendrons informés de la suite donnée, et nous nous tenons à votre entière disposition à l’adresse suivante : rpaulnay93@gmail.com

Source : communiqué RPE Aulnay

Val Francilia à Aulnay-sous-Bois : Benjamin Giami et Mohamed Ayyadi saisissent le préfet

Dans son édition de mars 2019, la mensuel « Oxygène » de la municipalité d’Aulnay fait état d’une réunion publique autour du projet Val Francilia qui verra le jour sur l’ancien site PSA. 

Intitulé « Val Francilia : la concertation commence », l’article évoque une réunion publique qui se tiendra jeudi 28 mars à 18h, avec un « nombre de places limité ». 

A l’heure de la mise en place d’une concertation nationale inédite, voulue par le gouvernement, force est de constater que la situation locale d’Aulnay-sous-Bois est aux antipodes de ce qui se fait à l’échelle de l’hexagone. 

Après de nombreuses critiques des riverains sur le devenir de la place Abrioux, sur le coût de la future piscine, ou encore sur le futur du parc ballanger, le Maire Bruno Beschizza persiste et signe : non seulement il n’a jamais abordé le futur de ce site en conseil municipal, mais il organise une réunion en catimini, avec un nombre de places limité, à l’autre bout de la ville.

Aucune information n’est communiquée sur les modalités d’inscriptions ou sur la façon dont la municipalité va sélectionner les habitants. 

Alors qu’un projet sans précédent de développement industriel, de mise en place de services publics divers et de création de logements doit voir le jour dans les prochaines années, une « concertation » est organisée parmi des personnes triées sur le volet. 

Est-ce ainsi que l’on construit le futur de notre ville, de notre département, et de notre région ? Comment peut-on annoncer une telle réunion alors que le sujet n’a même pas été abordé en conseil municipal ? 

Il est désormais urgent de tous nous rassembler autour d’un projet commun qui respectera les avis de chacun – riverains, élus, associations, acteurs publics et économiques. Bruno Beschizza ne peut décider seul et invoquer une prétendue concertation de la sorte. 

C’est la raison pour laquelle le groupe «  Rassemblement Pour Aulnay » a décidé de saisir le préfet de Seine-Saint-Denis pour l’alerter sur ce manque de concertation criant. Ce projet de Val Francilia ne doit pas se réaliser dans le dos des habitants et des forces vives de la ville.

Benjamin GIAMI
Conseiller municipal
Président du groupe
« Rassemblement Pour Aulnay »

Mohamed AYYADI
Conseiller départemental
Conseiller municipal

Les élus LREM / Agir ont profité de tarifs réservés aux agents pour déjeuner à la cuisine centrale d’Aulnay-sous-Bois

Trois élus d’opposition d’Aulnay-sous-Bois ont récemment déjeuné à la cuisine centrale de la ville, réservée au personnel communal. Problème : alors qu’ils ne sont pas agents, ils ont profité du tarif très préférentiel réservé au personnel municipal, soit 3,86 euros pour un repas complet, hors boisson. Or, le tarif d’un repas pour un non-agent est fixé à une douzaine d’euros – d’autant plus que le site n’est pas censé être accessible à tous.

es faits se sont déroulés le 29 janvier. Un agent de la cuisine centrale a fait remonter l’information à la municipalité pilotée par Bruno Beschizza (LR), lequel ne souhaite pas commenter l’information.

Mais, dans son entourage, on grince : « On ne va pas tirer sur l’ambulance… Ce qui s’est produit se passe de commentaire, surtout en cette période où l’éthique publique est sans cesse remise en cause, comme avec l’affaire Benalla ».

Les opposants disent ignorer la règle des tarifs préférentiels

Contactés, les opposants en question – Leïla Abdellaoui (LREM), Benjamin Giami (LREM) et Mohammed Ayyadi (Agir !) – se désolent de la polémique.

« Décidément, Bruno Beschizza n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent », ironise Leïla Abdellaoui, en référence aux « boules puantes » habituelles qui rythment l’année des élections municipales.

Tous les trois assurent qu’ils n’avaient pas connaissance de cette règle des tarifs préférentiels, votée lors d’un conseil municipal en juin 2016.

« Bien évidemment, si on avait su que ce tarif était réservé aux agents de la ville et non aux conseillers municipaux, nous aurions payé le tarif extérieur », insiste l’élue d’opposition. Qui tacle : « Ce que je note, c’est que ce déjeuner date de fin janvier, ajoute-t-elle. Les bonnes manières auraient voulu que le maire nous prévienne directement afin de régler la différence de… 8 € ».

Source et article complet : Le Parisien

Halte à la récupération politique ! À Aulnay-sous-Bois, il n’y a vraiment plus ni boussole, ni pilote !

Bruno Beschizza, en perte de vitesse dans la ville, il tente d’attirer éperdument les électeurs qui lui filent entre les doigts.

Alors qu’il a détruit, dès son élection, le ciment social construit depuis plus de quinze ans (suppression des assistantes sociales mises en place par le Conseil Général, ACSA vidée de ses moyens …), il se présente aujourd’hui comme le défenseur du petit peuple, allant jusqu’à enfiler un gilet jaune sur les marchés de la ville et courir tous les médias.

Alors que les besoins des habitants de notre ville sont de plus en plus délaissés et que l’exécutif municipal ne maîtrise plus aucun des grands dossiers et empile les erreurs, le maire cherche à faire une récupération politique inacceptable, lui qui a soutenu le candidat François Fillon qui proposait… une augmentation de 2 points de TVA ! Cherchez l’erreur…

Où allons-nous en matière d’urbanisme ? Quand le maire donnera-t-il tous les documents concernant les permis de construire délivrés depuis avril 2014 ?

Quid des projets immobiliers du quartier Mitry-Princet, de la Croix Blanche, du site PSA ?

A part de la communication à outrance et des inaugurations avant l’heure, il n’y a strictement rien de concret aujourd’hui et sans doute rien avant 2020.

Quels résultats réels en matière de sécurité alors qu’il en avait fait la colonne vertébrale de son programme de campagne et qu’il se présentait comme un professionnel ?

Quant à l’école, qu’a-t-il fait depuis 2014, à part l’augmentation des tarifs de cantine qui frappent les familles les plus modestes ?

Depuis l’affaire de l’école Esperance Musulmane de la Jeunesse Française et, dernière bourde en date, la délibération de soutien au CDG Express (qui reléguera encore plus le RER B déjà mal en point), Bruno Beschizza navigue à vue.

Il n’y a plus de pilote à Aulnay-sous-bois.

Il est temps que les forces vives de notre ville se rassemblent pour préparer les prochaines échéances.

Source : communiqué de Mohamed Ayyadi et de Benjamin Giami, conseillers municipaux  LREM à Aulnay-sous-Bois